Oasis de Dakhla (du 6 au 14 janvier)
Après 6 heures de bus, nous sommes arrivés à Mout, capitale de l'oasis de Dakhla, qui s'étire sur plus de 70 km et compte une vingtaine de villages.
Nous logeons à l'hôtel El Nogoom, dans une "suite" de deux chambres avec balcons et deux salles de bain, régulièrement inondées dès que l'on ouvre un robinet...
Une photo prise du balcon
Balade dans le vieux village d'El Qasr
Ici, même les chèvres nous sourient !
Mouhammad, notre chauffeur qui est aussi le cuisinier de l'hôtel, à côté de sa vaillante petite Datsun presque neuve ! Il s'est expatrié comme beaucoup d'égyptiens, il a travaillé au Hilton de Dubaï pendant 17 ans.
Nous finissons la journée à la "source magique". L'eau sort du sable dans cette petite piscine aménagée. On a l'impression de tomber dans des sables mouvants, mais la pression de l'eau nous repousse vers le haut. Et en plus, l'eau de cette source est à 32 ° environ. Rémi et Judith ont eu beaucoup de mal à partir.
A côté, un grand lac naturel au milieu du désert.
Nous logeons à l'hôtel El Nogoom, dans une "suite" de deux chambres avec balcons et deux salles de bain, régulièrement inondées dès que l'on ouvre un robinet...
Une photo prise du balcon
Balade dans le vieux village d'El Qasr
Ici, même les chèvres nous sourient !
Mouhammad, notre chauffeur qui est aussi le cuisinier de l'hôtel, à côté de sa vaillante petite Datsun presque neuve ! Il s'est expatrié comme beaucoup d'égyptiens, il a travaillé au Hilton de Dubaï pendant 17 ans.
Nous finissons la journée à la "source magique". L'eau sort du sable dans cette petite piscine aménagée. On a l'impression de tomber dans des sables mouvants, mais la pression de l'eau nous repousse vers le haut. Et en plus, l'eau de cette source est à 32 ° environ. Rémi et Judith ont eu beaucoup de mal à partir.
A côté, un grand lac naturel au milieu du désert.